he offered her the world, she said she had her own.

Je suis malheureuse. Peut être que c'est seulement le temps ou bien l'absence de choses, l'état de vide et le manque de courage. J'aimerais n'avoir aucun doute sur rien, j'aimerais savoir que je prend les bonnes décisions mais cependant j'ai toujours le sentiment que j'aurais des regrets. Un peu comme si je m'auto-s'abottais quand je passe de la determination à l'hésitation. Je repousse l'échéance de la recherche de patron encore et toujours alors que j'aurais pus (dus) m'y mettre il y a si longtemps. Je suis trop bête. Il n y a pas juste ça, j'ai aussi ce feeling de perte avec A, en ce moment nous ne faisons que nous croiser entre sa fatigue et ma mauvaise humeur, ses examens et ma procrastination. Je suis peut être compliquée avec lui, parfois trop froide, trop distance mais en ce moment je faisais des éfforts sauf que c'est comme si lui avait céssé d'en faire. Je ne sais plus pour les vacances ensemble, j'ai peur que ça tombe à l'eau pour des raisons diverses et variées mais la vérité c'est que si ça n'a pas lieux se sera seulement de notre faute, pas celle de telle ou telle chose, juste à cause de nous et je crois que ça voudra dire qu'on ne voulait pas vraiment partir ensemble. Comme une sorte de marque du manque d'épanouissement, un truc comme ça. Il y a quelques jours, peut être une semaine, j'ai rêvé de xxxxx, ça m'arrive de temps en temps et j'ai voulu en parler puis j'ai changé d'avis. Je sais que certains d'entre vous me connaissent, me fréquentent parfois en chair et en os, certaines me connaissent même peut être trop bien quelque part pour lire ce blog, et il y a sans doute de la retenue de ma part due à celà. Sauf qu'ici c'est chez moi, même si j'ai choisi d'exister sans visage, sans identitée réelle, mes histoires sont bien vrai et ce blog existe pour elles alors je ne devrait pas prendre compte de ça, des jugements que les lecteurs pourraient éméttre. Et dieu sait à quel point xxxxx est source de discorde. Mais bref, je vais vous raconter quand même parce que c'est important pour moi ce que j'ai ressenti cette nuit là. C'est vraiment une question de sensations pour le coup. Je recadre un peu : Dans ce rêve nous étions deux, deux à devoir sauver le peuple ou la terre ou je sais pas bien et pour ce faire il fallait se " rencontrer " , nos âmes/coeurs j'entends, il fallait découvrir comment s'aimer avant la fin d'un certain décompte pour que tout ne soit pas anéantis (n'essayez pas de trouver un sens à tout cela dacc?). Donc, nous étions, moi et ce parfait inconnu (car si j'imagine il faisait parti de mon rang, de mon cercle etc, il n'avait pas de nom, pas de visage et aprioris, pas d'importance à mes yeux) enfermé d'un un espèce d'enclo de fer forgé aux vu d'une foule de gens hurlant pour que la rencontre ait lieux alors que le ciel prenait des couleurs d'apocalypse au dessu de nous. Nous nous touchions pour essayer t'établir le contacte et que le ciel cesse de gronder, nous tentions de nous apprivoiser vainement jusqu'à ce que...Lui. Il a fait son apparition dans mon rêve doucement, sans bruit, sans que je m'y attente : subtile manoeuvre de mon subconscient. Alors je courais, il sourias, il était beau comme dans le passé et il m'enlaçait. Le fait est que j'ignore si cette éteinte avec un autre que " l'élu " s'est avéré fatale ou salvatrice pour ce monde qui attendais qu'on le sauve mais ce que je sais c'est que le moi de mon rêve était bien. Comme quand votre coeur cesse de se serrer après une vive angoisse, comme quand tout retombe et que la plénitude est là. J'étais juste bien, comme dans un coccon : " safe " . Enfait, c'est absolument la sensation que me parcourais quand je le retrouvais après 1/2/3 semaines de séparation au début de notre relation. Ce premier baiser qui avait meilleur goût que tout les autres, que n'importe quoi d'autre. Vous savez, le sentiment d'être chez soi même en plein milieu de nul part. Y avait que lui, que cet instant là pour que je me sente comme ça. Je le dis pas avec tristesse, je suis pas en train de pleurer derrière mon écran au moment ou j'écris ces mots, je fais juste des constatations et le fait est que c'est comme ça, c'était particulier et s'il faut que se soit raconter alors il n y a pas d'autres moyens de le faire. Le truc c'est que je suis pas en train de parler de bonheur ou de tristesse, juste d'un feeling particulier que j'aimerais que vous compreniez. A mon reveil j'étais pas boulversée du tout, pas chagrine, pas prête à remettre en question ma relation avec le babylove. Non, c'est juste comme si xxxxx avait été là dans mon rêve simplement pour recharger mes batteries, m'accorder un instant d'apaisement absolu avant de retrouver la réalité. C'était cool, j'étais contente de ne pas éprouver de chagrin ou même de manque. Se sera sans doute pas toujours le cas, la nuit est souvent la porte ouverte à nos regrets, à nos démons du passé et à nos angoisse mais cette fois c'était vraiment cool de le voir là entre conscience et inconscience. J'espère qu'il a fait un rêve identique au même moment, qu'on était bien là tout les deux. Peut être qu'une idée de connexion débile à travers les songes me rassure...je sais pas. J'ai pas le courage de me relire, mon ortographe soit être térrible pourtant, je sais qu'elle l'est dans nombre de mes articles, je me corrige jamais je m'en excuse mais ici j'ai envie de m'en foutre un minimum, je suis très mauvaise en ortographe malgré ma formation en lettres modernes mais on a qu'à dire que c'est okay. 

Ps : j'aimerais bien avoir un sphynx, je suis pas très animaux, voir pas du tout, un peu comme pour les enfants d'ailleurs mais, les sphynx c'est pas pareil, c'est comme si j'étais faites pour les aimer juste eux avec leurs particularités et leur fragilité. Mon sphynx se serait mon petit bébé, un peu comme Bambi ma plante carnivore.

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[Anna]

Love u <3